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Bien’ici Pro / Actus Pro / Immobilier : l’Australie et la Nouvelle-Zélande à la loupe

05/05/2022
Bien’ici vous propose de partir en voyage afin de découvrir l’immobilier hors de nos frontières. Règles légales, état du marché, usages des professionnels du secteur, chaque pays a ses spécificités, ses particularités. Pour le onzième volet de cette saga internationale, basculons à l’autre bout de la planète, direction l’Australie et la Nouvelle-Zélande.
La frénésie de l’immobilier en Australie et en Nouvelle-Zélande

En Australie, le marché immobilier est très dynamique et la demande soutenue, notamment dans les grandes villes. En 2021, le prix des maisons a ainsi augmenté en moyenne de 21 % et les professionnels du secteur estiment que les prix devraient poursuivre leur ascension en 2022. La hausse annoncée des taux d’intérêt pourrait ensuite venir corriger légèrement la frénésie du marché australien. Il n’en reste pas moins qu’en 2021, les prix se sont envolés dans de nombreuses métropoles. Ce fut le cas à Sydney (+25,8 %), Brisbane (+25,1 %), Canberra (+24,5 %) ou encore Melbourne (+16,3 %). Des hausses sur 12 mois que les agents immobiliers n’avaient "pas connu depuis 1989". Aujourd’hui, le prix du mètre carré à Sydney est en moyenne de 10 784 € et peut grimper à près de 17 000 € dans les quartiers les plus prisés. 

 

En Nouvelle-Zélande, le marché immobilier est devenu la problématique n°1 des Néo-Zélandais. Les prix ont littéralement explosé, rendant l’accès à la propriété impossible pour un nombre considérable de personnes. En 2021, les prix ont augmenté de plus de 25 % et, entre 2000 et 2021, c’est une augmentation de 256 % qui a impacté les prix des logements néo-zélandais. Aujourd’hui, pour pouvoir s’offrir une maison à Auckland, la capitale économique du pays, il faut compter près de 820 000 €. Ce qui représente 35 fois le revenu médian. Des mesures ont été prises par le gouvernement néo-zélandais pour stimuler l’offre de logement et freiner la spéculation. Mais les effets se font attendre pour les Néo-Zélandais qui, en 2022, sont plus nombreux à être locataires que propriétaires.

Australie : une vente, trois processus

Pour vendre un bien en Australie, le propriétaire a trois options :

  • La vente aux enchères : la vente est réalisée par un agent immobilier auquel le vendeur communique un prix plancher en-dessous duquel il ne souhaite pas vendre. 
  • Le système de "expression of interest" : un agent immobilier commercialise le bien immobilier sans afficher le prix et c’est à l’acquéreur qui se montrera le plus offrant
  • La vente classique : comme en France, un agent immobilier propose un bien immobilier à la vente et diffuse une annonce. Petite différence tout de même : dans un premier temps, comme pour prendre la température du marché, le bien est affiché sans prix. Ensuite, après avoir en quelque sorte sondé les potentiels acquéreurs, un prix est défini et affiché.

 

Parmi les acteurs du processus de vente en Australie, il y a bien évidemment l’agent immobilier mais aussi l’avocat (ou le "solicitor", équivalent du notaire) qui est en charge de toute la partie administrative. Il rédige le "Contract for the sale of land", équivalent du compromis de vente, et diligente la "building inspection" afin de vérifier l’état du logement.

Nouvelle-Zélande : aux acquéreurs de se montrer vigilants !

En Nouvelle-Zélande, où le principe de vente aux enchères est en plein essor, le processus d’acquisition d’un bien immobilier est un peu différent de celui que nous connaissons en France. Ainsi, l’agent immobilier en charge de la vente ne représente que les vendeurs et il est vivement conseillé aux acquéreurs de se faire accompagner par un "buyer agent".


Les conseils d’un avocat sont également précieux puisqu’il revient aux acquéreurs d’effectuer toutes les vérifications concernant le bien immobilier ("building report", "Land Information Memorandum report", etc.). Pour les acquéreurs, il est important de ne pas négliger cette étape car, une fois le compromis signé, il n’existe pas de délai de rétractation.

Des coûts de transactions disparates

En Nouvelle-Zélande, les coûts liés à une acquisition immobilière sont assez faibles, aux alentours de 4,5 % de la valeur du bien. L’acquéreur paie les frais d'enregistrement et le vendeur est en charge des honoraires de l'agent immobilier (entre 3,5 % et 4 %). Chacun règle en revanche les honoraires de son avocat.

 

En Australie, les coûts de transactions sont plus élevés : entre 3,70 % et 21 % de la valeur du bien. Le droit de timbre sur les transferts de propriété varie de 1,5 % à 6,75 % et est payé par l’acquéreur. Enfin, on notera qu’à l’exception de la région du Queensland, où les frais d’agence sont fixés par le gouvernement, dans les autres régions, les honoraires sont négociables.




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