Ventes immobilières dans l'ancien : record battu !

Si la crise consécutive à la Covid-19 a évidemment modifié les comportements des acheteurs, c’est un mouvement qui se généralise et atteint les régions avec un cumul de 900 000 ventes. Il faut ajouter que de nombreux Parisiens ou encore résidents de grandes métropoles françaises ont voulu exporter leur habitat vers des villes de tailles plus modestes et proposant des tarifs attractifs. C’est donc une des causes de cette embellie mais elle n’est pas la seule. En effet, le plan de relance gouvernemental ainsi que les taux de crédit très bas cumulés à des épargnes plus importantes du fait de la crise, ont constitué un contexte favorable pour les ventes dans ce secteur. Les primes à la rénovation sont des appels à se lancer dans des projets qui concilient qualité de vie et habitat plus écologique.

Dans ce tableau qui fait la part belle à l’ancien et à la province, les ventes sur la Capitale et sa périphérie se sont tout de même maintenues. Une baisse de 2 % seulement est relevée et ce, malgré les périodes successives de confinements, les transactions ont pu se dérouler dans des conditions correctes. Cela se traduit par une hausse des prix sur un an de près de 6 % sur l’immobilier neuf et d’un peu plus de 5 % sur l’ancien.

Sources : Notaires de France